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mon amour
11/07/2006 00:03
cherie
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mon amour
11/07/2006 00:01
mon amour l'homme que je khiff il trés chou
Commentaire de penedico (31/08/2006 22:21) :
je me montre pas ni pour me fai publicite je suis une jeune fille qui
est fédéle aussi gentil
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Commentaire de aissatou binte souare (18/09/2006 13:02) :
Quand sortant du sommeil
L’enfant au réveil
Revois la lumière
Dans son regard naif
Encore tout craintif
Passe une prière
Une voix dit tout bas
Ne crains rien, je suis là
Tout joyeux, il tend les bras
Dans la vie le premier cri
C’est MamanLe doux nid le cher abri
C’est MamanC’est le seul amour
Qui jamais ne se lasse
Et qu’au fond du cœur
Jamais rien ne remplace
Dans la vie qui nous sourit
C’est Maman
Nous console et nous guérit
C’est Maman
Dans le bonheur ou la tristesse
Le mot charmant qu’avec tendresse
On murmure doucement….
C’est…. Maman
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mon amour
10/07/2006 23:58
mon amou l'homme que je khiff il est trés chou
Commentaire de penedise (31/08/2006 22:23) :
mon amou l'homme que kiff il est trés chou il s'appele thiam Adam
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Commentaire de nan (02/09/2006 08:19) :

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Commentaire de penedise (18/09/2006 12:49) :
Et tu me dis des mots que je ne croyais plus entendre,Des mots que je
croyais réservés aux amants de quinze ans.Mais si je n'avais plus,
hélas, l'âge du beau Roméo,Tu n'avais pas, non plus, celui de la
chaste Juliette.
Aux paroles d'adoration, qu'inspirait ton amour,Tu joignis de
torrides incantations de femme,De femme au sang généreux et à la sensualité
forte,
Prêtresse d'Alexandrie, qui joint l'orgasme à la prière.
Comme Alice, je me sentis basculer et tomber dans le vide,Ma raison,
vainement, tentait de saisir au passage une branche,Me rappelant sans
cesse, qu'à mon âge, cela ne pouvait être,Brève passion, qu'un
délire sans autre devenir que la souffrance.
Mais il était si doux de croire au miracle de l'amour,Si doux
d'aimer et de recevoir ton amour en écho.
Si doux de te couvrir de caresses et d'avoir, en retour,Tes baisers
passionnés et tes étreintes fougueuses.
Je cédais à ma folie avec délice et, jamais, jamais, ne le regretterai
!...
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ba kebe
10/07/2006 12:50
amitier qui deveni amour
Commentaire de penediseco (31/08/2006 22:13) :
amitier qui se termine par la trayision méfier vous les de faire
confiliase qui soir dans le monde sa ma arrivé une foi
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Commentaire de penediseco (18/09/2006 12:53) :
Même étant si loin de toi
Ta présence reste en moi
Ton souffle parfumé m’en ivre
Je n’ai qu’une raison de vivre
Toi rien que toi
Je vois partout tes gestes merveilleux
Ton regard plein de rêve et tes yeux lumineux
Et nul chant n’est pour moi
Aussi doux que ta voix
Je t’ai donné mon cœur
Tu tiens en toi, tout mon bonheur
Sans ton baiser il meurt
Car sans soleil meurent les fleurs
À toi mon beau chant d’Amour
Et pour toi seul, il fleurira toujours
Toi que j’adore, ô toi ma douceur
Redis-le moi... je t’ai donné mon coeur...
Oh ...quel Bonheur...
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sineya diallodiéri
10/07/2006 12:48
elle c'est mon ami ont né connue ou que je travail elle trés ma genti avec moi
Commentaire de penedise (31/08/2006 22:26) :
mon ami qui a toujourme conciers et me donne le bonnne idé
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Commentaire de penedise (31/08/2006 22:28) :
mon ami qui a toujourme conciers et me donne le bonnne idé
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Commentaire de yasine diallo (18/09/2006 13:14) :
Il est deux Amitiés comme il est deux Amours.L'une ressemble à
l'imprudence ;
Faite pour l'âge heureux dont elle a l'ignorance,C'est une
enfant qui rit toujours.Bruyante, naïve, légère,
Elle éclate en transports joyeux.
Aux préjugés du monde indocile, étrangère,Elle confond les rangs et folâtre
avec eux.
L'instinct du coeur est sa science,
Et son guide est la confiance.
L'enfance ne sait point haïr ;
Elle ignore qu'on peut trahir.
Si l'ennui dans ses yeux (on l'éprouve à tout âge)
Fait rouler quelques pleurs,
L'Amitié les arrête, et couvre ce nuage
D'un nuage de fleurs.
On la voit s'élancer près de l'enfant qu'elle aime,
Caresser la douleur sans la comprendre encore,Lui jeter des bouquets moins
riants qu'elle-même,
L'obliger à la fuite et reprendre l'essor.C'est elle, ô ma
première amie !Dont la chaîne s'étend pour nous unir toujours.
Elle embellit par toi l'aurore de ma vie,Elle en doit embellir encor
les derniers jours.Oh ! que son empire est aimable !Qu'il répand un
charme ineffableSur la jeunesse et l'avenir,
Ce doux reflet du souvenir !
Ce rêve pur de notre enfance
En a prolongé l'innocence ;
L'Amour, le temps, l'absence, le malheur,Semblent le respecter
dans le fond de mon coeur.
Il traverse avec nous la saison des orages,Comme un rayon du ciel qui nous
guide et nous luit :C'est, ma chère, un jour sans nuagesQui prépare
une douce nuit.L'autre Amitié, plus grave, plus austère,Se donne avec
lenteur, choisit avec mystère ;Elle observe en silence et craint de
s'avancer ;Elle écarte les Fleurs, de peur de s'y
blesser.Choisissant la raison pour conseil et pour guide,Elle voit par ses
yeux et marche sur ses pas :Son abord est craintif, son regard est timide
;Elle attend, et ne prévient pas!....
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